Musique africaine, batucada, conte et danse africaine  
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Le Mandingue

Pour mieux connaitre la musique mandingue

  • Que désigne le mot « mandingue » ?

La culture dite « mandingue » regroupe un certain nombre de pays de l’Afrique de l’ouest. Dans un premier temps, elle correspond à l’extension de l’ancien Empire du Mali. Celui-ci a été créé en 1225-1250 par un guerrier légendaire : Sundjata Keïta. Le mot « mandingue » est souvent associé à la musique et aux danses africaines, car elle connait un grand succès dans le monde entier. Lorsque l’on parle de « mandingue », on parle forcément de musique et de pays d’Afrique de l’ouest.

  • Qu’est-ce que la musique mandingue ?

La musique mandingue est une musique traditionnelle qui se transmet à l’oral de génération en génération. Elle accompagne toutes les fêtes, les célébrations et les rites des pays mandingues comme le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Congo, la Haute-Guinée et la Côte d’Ivoire notamment.
La musique mandingue est incontestablement la plus répandue et la plus connue de toutes les musiques africaines en France. Parmi les instruments les plus utilisés figurent le djembé, le n’goni, la kora, le doun-doun et le balafon.
Fruit des échanges et des métissages des peuples mandingues, cette musique est souvent associée à la parole des griots. Ceux-ci sont artistes qui racontent l’histoire de leur peuple en chantant au cours de cérémonies diverses. En terre mandingue, la musique et l’histoire sont indissociables.
La musique se caractérise par une classe et une élégance incomparables. Le niveau des musiciens mandingues est très élevé.
Elle allie la danse africaine, le chant, les performances d’un percussionniste et acrobate africain. L’énergie et la fougue des artistes mandingues, la beauté des mélodies, la diversité des instruments comme le djembé ou la flûte mandingue font que c’est une musique africaine connue dans le monde entier.

 

Le peuple et la civilisation mandingues-repères historiques

  • Sundjata Keita – le berceau du peuple mandingue

Sundjata Keita était l’empereur du Mali. C’est un homme au parcours exceptionnel et miraculeux qui fait partie de l’histoire de l’Afrique de l’ouest.
Naré Maghann, roi du Manding, reçut la visite d’un chasseur devin. Ce dernier lui prédit qu’il aurait un fils avec une femme très laide et que celui-ci deviendrait roi. Quelques années plus tard, deux chasseurs lui présentèrent une femme venant d’un pays voisin qui était laide et bossue. Se rappelant de la prédiction, il l’épousa et elle lui donna un fils prénommé Soudjata Keita. Celui-ci était infirme, incapable de se tenir debout.
A la mort du roi Maghan en 1218, son fils Dankaran Keïta prit le pouvoir malgré la volonté de son père défunt de respecter la prédiction. Sundjata et sa mère étaient l’objet de mépris, ce qui les poussa à l’exil. A l’âge de 7 ans, Sundjata réussit à se lever grâce à une barre de fer.

  • Le rôle du roi Sundjata dans l’épanouissement de l’empire du Mali

Durant l’exil de Sudjata, le roi Soumaouro Kanté attaqua le royaume du Manding. Dankaran Keïta ayant peur pour sa vie dut fuir. Pendant ce temps, Sundjata forme et réunit de nombreux guerriers. Rassemblant les armées des différents royaumes, il réussit à vaincre l’armée de Soumaouro Kanté en 1235. C’est après cette victoire qu’il réunit alors tous les royaumes pour constituer l’empire du Mali. Il est alors proclamé roi et Niani, qui est sa ville natale, sera la capitale de l’empire malien. De nos jours, c’est un petit village en Guinée. Soudjata va développer le commerce, les cultures nouvelles et l’exploitation de l’or. Il est connu pour ses exploits en tant que guerrier, sa sagesse, ainsi que sa tolérance. Sundjata Keïta est mort en 1255.

  • Les griots et leur place dans la société mandingue

Les griots sont les responsables de la tradition orale, poétique et musicale. C’est en Afrique de l’ouest qu’ils sont devenus des héros craints, courtisés et respectés. On est griot de génération en génération. Dès leur enfance, ils apprennent à jouer des instruments de musique comme le djembé, la kora, le kamelengoni ou le balafon. Ils apprennent également l’art de la parole et à développer leur mémoire qui deviendra leur outil de travail. Les griots sont de véritables professionnels de la musique africaine, de la parole et du spectacle. Un griot est donc musicien, conteur africain, percussionniste, danseur et chanteur.
Les griots sont également des médiateurs, des conseillers des princes, des percepteurs pour les enfants et ils racontent en chantant des contes africains. Souvent accompagnés d’un djembé, d’un balafon ou d’un ngoni, ils racontent l’histoire de l’empire mandingue. Ils sont les garants de la mémoire mandingue et de la tradition orale. Ils existent encore de nos jours, de nombreux griots au talent exceptionnel. Certains sont devenus de grands artistes et connaissent un grand succès grâce à leur histoire, leur tradition et aux messages qu’ils font passer que ce soit par le chant, la musique ou la danse.

  • La civilisation mandingue d’aujourd’hui

La civilisation mandingue s’est perpétuée jusqu’à nos jours et est présente aujourd’hui dans des pays tels que le Mali, la Guinée, la Cote d’Ivoire, le Burkina Faso et le Sénégal. Ces pays ont su conserver leurs cultures traditionnelles. Les griots sont toujours présents et transmettent leur savoir de génération en génération. Les grands musiciens et chanteurs mandingues ont permis d’ouvrir au monde entier la musique africaine. La civilisation mandingue a su garder encore aujourd’hui tout ce qui fait sa richesse : ses coutumes, ses rituels, ses cérémonies, ses danses et bien sûr sa musique.

  • La littérature malienne : le conte africain

La littérature malienne est liée à la tradition orale. Elle permet à chaque individu de connaitre l’histoire de son peuple et la généalogie de ses ancêtres. La vie quotidienne, la culture de Mali sont les thèmes les plus souvent abordés dans les contes africains.
Parmi les nombreux écrivains qui ont contribués à décrire les traditions culturelles du Mali, Amadou Hampâté Bâ est parmi les plus connus. L’une de ses œuvres phares, c’est « Amkoullel l’enfant peul ». Il y relate à la fois son histoire et celle de tout un peuple. Les contes africains, notamment maliens, mettent en scènes des animaux aux comportements humains. Une morale forte doit guider les enfants maliens à trouver leur place au sein de leur village. Ousmana Diarra est également un conteur africain connu qui a écrit de nombreux contes africains comme « L’orphelin et les méchants villageois ».

 

La musique traditionnelle mandingue

  • Ses origines

La musique mandingue vient du Mandé, partie frontalière entre la Guinée et le Mali. A l’arrivée du roi du Sosso, Soumaoro Kanté, et son balafon, la musique africaine va commencer à être populaire. Il était le seul à avoir un balafon. La légende veut qu’un jour il surprit un griot prêt à jouer de son instrument. Pris de peur, celui-ci se mit à chanter les louanges du roi. Il lui offrit son balafon. Après que le roi ait offert le balafon, celui-ci va attirer les gens et donner un caractère populaire à la musique. C’est ainsi que naquit la musique mandingue.

  • Son évolution

En jouant du balafon, du kamelengoni, du ngoni, de la kora, du doun-doun et du djembé, les griots chantent pour les mariages et autres cérémonies. Les navigateurs portugais vont apporter des guitares acoustiques au XVIe siècle, les colonisateurs européens, des tambours, des batteries, des accordéons et bien d’autres. C’est ainsi que de nouveaux sons apparaissent à côté des instruments traditionnels.
La musique mandingue va s’ouvrir au monde entier grâce à la radio. Elle est très vite adoptée grâce au niveau élevé des musiciens mandingues. Elle allie la danse africaine et la musique africaine. Acrobate africain, percussionniste et chanteur font que cette musique est très populaire en France notamment. De nombreux artistes de tous les pays peuvent se réunir lors d’un concert musique africaine, d’un carnaval africain ou de festivals qui ont lieu dans de nombreux pays. La musique mandingue doit son succès aujourd’hui à sa musique rythmée, le son de ses nombreux instruments et aux talents des artistes. Ceux-ci ont d’ailleurs à leur actif de nombreux albums de musique qui connaissent aujourd’hui un grand succès.

 

La musique mandingue contemporaine

  • Ses caractéristiques

La musique venant de l’Afrique de l’ouest s’est enrichie au fil des siècles grâce notamment aux griots. Depuis la fondation de l’empire mandingue jusqu’à aujourd’hui, la musique a renforcé les liens des habitants du Mali, de la Guinée, du Burkina et du Sénégal qu’ils ont avec leur passé. Elle a connu un élan modernisateur dans les années 1960. Elle est toujours jouée  avec un djembé, un kamelengoni, un balafon, un doun-doun ou un ngoni. Toujours accompagnés de chants, des guitaristes de renom ont apporté un nouveau son à cette musique traditionnelle. C’est ainsi que les trompettes, les synthétiseurs, les batteries accompagnent aujourd’hui les plus grands djembefola.

  • Les nouvelles tendances de la musique et danse mandingues actuelles

Les musiques modernes sont des musiques de danses très rythmées, avec des instruments d’origine occidentale comme les guitares ou les trompettes. Au rythme du percussionniste, les danseurs vont effectuer une danse africaine au son d’une musique endiablée. Dans les années 80, l’explosion du rock mandingue est internationale. Mory Kanté et bien d’autres vont ouvrir la porte de la modernité à la musique mandingue. Elle est jouée lors d’évènements comme le carnaval africain, lors de concert musique africaine, mais également pour un mariage africain, par exemple.
La musique mandingue a inspiré de nombreux artistes et groupes. C’est le cas de groupe gnawa. En effet, la musique d’un groupe gnawa s’inspire largement de la musique africaine. De nombreux artistes de pays du monde entier comme le Maroc ou le Brésil avec leur batucada, qui est une fanfare brésilienne, s’inspirent des musiques et danses mandingues.

  • Particularités de la musique et danse mandingue dans différents pays :
  • Guinée-Mali

Mory Kanté, Kerfala Kanté, Bembeya Jazz ou Mamady Keita font partis des musiciens les plus célèbres en Guinée. Tounami Diabaté, Amy Keita ou Rokia Traoere sont des musiciens qui font connaitre la musique malienne à travers le monde. C’est d’ailleurs dans ces pays que les plus grands artistes ont connus un grand succès hors de leurs frontières.

  • Le Sénégal 

Ablaye Cissoko allie les traditions mandingues et la musique contemporaine. C’est un griot qui transmet avec finesse les valeurs et les traditions. Lamine Kanté est le koraïste qui a le plus popularisé la musique mandingue.

  • Le Burkina :

Bomboro Kosso chante en djoula et en français avec des sonorités de musique africaine. Issu d’une famille de griots, c’est un percussionniste hors pair. Mêlant la danse africaine et le djembé, c’est un auteur-compositeur de grand talent.

  • La Cote d’Ivoire 

La Cote d’Ivoire regorge de nombreux chanteurs et chanteuses de grands talents. C’est pourquoi sont organisés de nombreux festivals de musique mandingue. L’artiste Mawa Traoré est surnommé la voix sûre de la musique mandingue en Cote d’Ivoire.

  • Le Congo 

La musique du Congo est une musique très variées alliant musique africaine, jazz et reggae.

 

  • Le charme des danses et rythmes mandingues : les plus fameuses danses (sabar, Ndombolo, Sunum, Djansa, Maraka, Makru, Yankadi)

Le sabar est une danse africaine très sensuelle. Elle a d’ailleurs été interdite au Mali en 2001 dans sa version contemporaine.
Le Ndombolo est une animation dansante du Congo. Il s’agit en fait d’un animateur qui pousse des cris et qui est accompagné d’un danseur. Ces cris constituent souvent des injures ou des menaces.
Le Sunum est souvent associé au djansa. C’est une danse africaine qui exprime la rivalité entre les jeunes hommes. C’est un air très populaire joué aux cours des fêtes populaires.
Le Djansa est une danse africaine très rythmée. Elle est souvent réalisée lors des fêtes joyeuses comme un mariage africain, un carnaval africain ou lors de concert musique africaine.
Le Maraka est une danse africaine principalement originaire du Mali.
Le Makru est une danse dont le rythme sert à séduire ; Elle est généralement jouée lors des rites de séductions dans les villages de l’Afrique de l’ouest.
Le Yankadi est également une danse de séduction qui est réalisée lors d’un mariage africain et des fêtes populaires. Les jeunes hommes se placent en face des jeunes femmes et placent une écharpe sur une de leur épaule ou sur la poitrine, en signe d’amour.

  • Les meilleurs représentants de la musique mandingue contemporaine

Parmi les fameux djembefola, on peut rappeler Mamady Keita, Fadouba Oularé, Famoudou Konaté.
Manady Keita est un djembefola (joueur de djembé) qui a été le directeur artistique du Ballet National en Guinée.
FadoulaOularé est considéré comme l’un des plus grands djembefola. Il forme de nombreux batteurs.
Famoudou Konaté est un grand percussionniste et djembefola. Guinéen, il a parcouru le monde entier avec les ballets africains.

 

Les instruments

  • Le djembé

Le djembé signifie « tambour » dans la langue principale des pays mandingues. C’est un instrument de percussion utilisé en Afrique. Il est composé d’un fût de bois et d’une peau de chèvre ou d’antilope. Sa forme évasée servait autrefois comme mortier à piler le mil. Le musicien qui en joue est appelé djembefola. Le djembé est pour certains un vrai objet d’art. En effet, chaque musicien personnalise son instrument. Il est d’ailleurs très fréquent d’en voir dans les maisons en France en tant que souvenirs de vacances. Le djembé est sans doute l’instrument le plus connu en Europe parmi les instruments mandingues. Il existe notamment de nombreux cours qui y sont consacrés.

  • Le doun-doun

Le doun-doun est un ensemble de trois instruments : le sangban, le kenkeni et le dounoumba. C’est un des principaux instruments utilisés pour la musique africaine et notamment mandingue. Il accompagne, dans la plupart des cas, le djembé et forment ainsi le repère pour la danse africaine.
Il est donc composé de 3 fûts en bois qui ont la forme d’un tronc creux et cylindrique. Chacune des extrémités est recouvertes de peau de vache, bœufs et bien d’autres peaux épaisses d’animaux sauvages. Ces trois tambours forment un ensemble qui pourrait être comparé à notre batterie. Ils peuvent être positionnés horizontalement ou verticalement.

  • Le balafon

Le balafon est un xylophone. Il a un support soit en bois soit en bambou sur lequel sont fixées des caisses de résonnance appelées calebasses, surmontées de lames en bois de tailles croissantes. En pays mandingue, d’où il est originaire, le balafon est joué essentiellement par des griots. Le nombre de lames va varier en fonction de la région où l’on en joue ainsi que du son que l’on veut obtenir.
Il existe deux sortes de balafons : le balafon « guinéen » constitué de sept notes et le balafon pentatonique constitué, lui, de cinq notes.

  • La kora

La kora est une harpe luth et est l’instrument traditionnel des griots. Elle est sans aucun doute l’instrument de musique le plus célèbre sur le continent africain. Elle est très compliquée à fabriquer et à accorder. Il faut une dizaine d’année pour bien la maîtriser. La kora est d’origine mandingue. C’est pour cela que ses différents accords se font en fonction des chansons mandingues. Il existe de nombreux artistes jouant talentueusement de la kora.

  • Le n’goni

C’est un instrument mélodique provenant de l’Afrique de l'ouest. Le n’goni est composé d’une grosse calebasse qui va servir de caisse de résonnance. Elle est de forme sphérique ou allongée et recouverte d’une peau de chèvre. La calebasse est traversée par un manche constitué de bois. Des cordes en nylon sont fixées à l’extrémité de ce manche. Le n’goni est souvent considéré comme le petit frère de la kora car structuré de la même façon, la seule différence venant du nombre de cordes.

  • Le kamelengoni

Le kamelengoni est un instrument à 8 cordes venant du sud-est du Mali.

  • La flûte peule et la flûte mandingue

En Afrique de l’ouest, il existe deux sortes de flûte : la flute peule, qui est jouée par les Peuls et la flûte mandingue, qui elle, est jouée par les Malinkés. La principale différence se fait au niveau du répertoire musical et également des techniques pour en jouer. Les instruments qui l’accompagnent décideront également du choix de la flute peule ou de la flûte mandingue.
La flûte peule est plus longue et a des plus gros trous qui sont plus espacés. La flûte mandingue est souvent recouverte de cuir, alors que la flûte peule est souvent recouverte de tissu ou de scotch ou tout simplement laissée sans décoration.
La flûte mandingue est souvent utilisée par les griots. Il n’est pas rare de voir des musiciens jouer de la flûte lors des concerts ou festivals. Elle apporte un son très apprécié par les musiciens mandingues.

Enfin, en parlant d’instruments traditionnels de musique mandingue, n’oublions pas de mentionner la calebasse, qui est une plante africaine dont les fruits sont souvent utilisés pour les instruments de musique. C’est notamment le cas pour la kora, le sitar et bien d’autres. En dehors de cela, elle est utilisée pour les ustensiles et les objets de décoration africains.

 

La popularité de la musique mandingue dans le monde : festivals de musique mandingue

Il y a de nombreux festivals de musique mandingue un peu partout dans le monde. A ces occasions, de nombreux percussionnistes font partagés leur grand talent. Souvent originaire d’Afrique de l’ouest, ces artistes font partagés lors de concert musique africaine leur passion mais surtout leur histoire et leurs traditions. La danse africaine est toujours très présente. C’est un vrai spectacle. La danse africaine est caractérisée par l’énergie des danseurs qui évoluent toujours pieds nus. C’est aussi une bonne occasion de voir un acrobate africain. Il peut y avoir des artistes de tous les pays. C’est ainsi que le Maroc est représenté, car la musique marocaine est souvent inspiré de la musique mandingue. Lors de ces évènements, il n’est pas rare de trouver une fanfare africaine ou de voir un groupe gnawa. La fanfare brésilienne nommée batucada participe généralement à ces spectacles. Que ce soit pour un carnaval africain, un concert musique africaine, tous les pays du monde entier sont représentés : Maroc, Congo, Mali, Sénégal, Cote d’Ivoire et bien d’autres.
Des festivals sont notamment organisés en France. Ainsi, le festival des Nuits mandingues organisé depuis 2005 par l'association Tambour battant à Nantes, suscite un vif intérêt parmi les passionnés de musique mandingue. Citons aussi le Festival Complet'mandingue qui se déroule chaque année à Saint-Brieuc.

 

Conclusion

La musique mandingue est une musique que l’on ne peut qu’aimer. Voir un carnaval africain, un concert, un mariage africain est un vrai spectacle à part entière. Acrobate africain, percussionniste, djembefola, groupe gnawa sont souvent réunis sur la même scène afin d’offrir un spectacle rythmé et plein d’entrain. Son succès est mondial grâce aux nombreux artistes qui font vivre le passé de leurs ancêtres grâce à leur musique et leur chant. Le chant est très important, car il permet de raconter une histoire qui est bien souvent celle d’un peuple. Il est également très présent lors de cérémonies, rites, mariages ou baptêmes.

 

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